Histoire littéraire d'Italie (1. Pierre Loius Ginguené
Читать онлайн книгу.II, liv. 7.
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Voy. le poëme de S. Prosper,
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Voy. l'Histoire littér. de la France, t. IV, Etat des lettres au huitième siècle.
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Voy. Tirab.,
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En 774.
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C. 25.
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Voy. les preuves que le P. Mabillon donne de cette date, dans ses Notes sur la Vie d'Alcuin, insérées dans ses
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Hist. litt. de la France,
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Abr. chr. de l'Hist. de Fr., année 789.
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Hist. Litt. de la France,
Charlemagne voulut aussi qu'en France on sût mieux la musique, et que l'on chantât plus humainement qu'on ne faisait alors, entreprise toujours difficile et qui, comme on voit, l'était il y a long-temps. On sait qu'il s'éleva une grande dispute à Rome, en sa présence, entre ses chantres et les chantres romains. Il eut assez de goût et de discernement pour prononcer en faveur de ces derniers: il en amena deux en France pour y enseigner un chant moins barbare et surtout l'art d'organiser, c'est-à-dire, de pratiquer à la fin des phrases du plain-chant, quelques chétifs accords de tierce, car c'était à cela que se bornait alors toute la science de l'harmonie même au-delà des Alpes, et elle ne s'était pas encore étendue si loin en deçà 132.
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Tirab., t. III, p. 131 et suiv.
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Eginhard dit qu'il l'était quand Charlemagne le prit pour maître:
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Epist. XV,
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En 799,
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Tirab.,
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En 776. Paulin avait alors 46 ans. Les savants auteurs de l'Hist. Littér. de la France l'ont fait naître en Austrasie (t. IV de leur hist.) Ughelli (
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L'église romaine chante cet hymne pendant la procession, le jour des Rameaux.
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Il serait plus exact de dire, s'ils les eût connus.
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L'auteur italien paraîtra sans doute exagéré dans cette assertion; mais elle est autorisée par une lettre de Loup de Ferrières au pape Benoît III, par laquelle ce savant abbé lui demandait des livres, et entre autres ceux du l'orateur de Cicéron, les douze livres des institutions de Quintilien, dont on ne trouvait, disait il, en France que des copies imparfaites, et enfin le commentaire de Donat sur les comédies de Térence. (Voy.
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Tom. IV, Disc. sur l'état des Lettres au huitième siècle.
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Loc. cit.
153
Hist. Litt. de la France,
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Dans le grand recueil de Muratori,
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Muratori les a insérées dans sa collection;
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Tom. I, part. II.
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Voy. là-dessus Mazzuchelli,
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En 757.
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Tirab., t. III, p. 80.
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On en voit la liste, à remonter jusqu'au sixième siècle, dans la Préface du Catalogue imprimé de la Bibliothèque du Vatican.
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Voyez-en les titres dans les
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Muratori l'a inséré dans sa grande collection.
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Voyez toutes les pièces de ce procès, placées par Muratori à la tête du
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Crescentius, assiégé dans le môle d'Adrien par Othon III, ne capitula que sur la
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C'était le temps où une Théodora et sa fille Marosie, maîtresses dans Rome, faisaient papes, l'une son amant, l'autre son fils (Jean X et Jean XI), et entouraient le saint-siége de tous les genres de scandales; où Jean XII mourait d'un coup reçu à la