Le Dernier Noël Sur La Terre. Andrea Lepri

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Le Dernier Noël Sur La Terre - Andrea Lepri


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pouvons-nous faire?” Dr Hope fait l’écho, le Président acquiesça et prêt à laisser tourner le couteau dans la plaie. Reproche qui avait été dans la surface de reporter cette réunion a été le moins que l’autre aurait pu le faire.

      “Pour moi, ce soir, je rentre chez moi et me consacrer à ma famille, je vais essayer de préparer au mieux que je peux ce qui pourrait être notre dernier Noël”, dit-il plutôt tranquillement, sans se disputer. Le Président regarda étrangement ses collaborateurs qui haussa les épaules, puis est retourné à examiner sérieusement le Dr espoir parce qu’il était certainement pas la réponse qu’il attendait. Il remarqua et hocha la tête, il savait que le président voulait demander ce qui était possible à tâtons sur le problème spécifique et donc il a fallu quelques instants pour y penser.

      “Nous devons croiser les doigts, il semble évident… à ce moment, je ne vois pas ce que nous pourrions faire!” Il a déclaré à la fin de ses réflexions; les autres sont restés silencieux.

      “Au revoir”, a il ajouté, debout, puis tiré sur son chapeau avec des moyens élégants et se dirigea vers la porte.

      Il était presque trois ans et James était encore capable de dormir. Il était sur le point de s’assoupir lorsque le grondement faible inattendu et loin d’un moteur diesel à faible vitesse a attiré son attention. Il ouvrit les yeux maudire le bruit, parce qu’il avait réveillé comme il était sur le point de s’endormir, puis se leva, bâillements et alla regarder par la fenêtre, se demandant qui pouvait se promener dans la campagne à ce moment de la nuit. Elle regarda attentivement à travers les stores fermés, mais a constaté que la zone en face de la maison était déserte, dans les prés et les bois environnants étaient absents des lumières de toutes sortes et il pensait avoir seulement imaginé. Comme il a été décidé debout maintenant d’obtenir un coup d’œil à Harry, ouvrit la porte et l’a trouvé avec bonheur endormi. Il sourit et retourna au lit, mentalement prêt à accueillir le sommeil, mais dès qu’il ferma les yeux un petit cri strident tous les sens l’alerte à nouveau. Il a écouté pendant quelques instants sans pouvoir saisir d’autres bruits, puis il a dit qu’il était probablement une rafale avait remué les murs instables de son hangar d’étain. “Tôt ou tard, je vais me décider de le réparer,” il se croyait préparer à nouveau à se endormir, mais un instant plus tard, il a entendu une nouvelle crise. Eve murmura quelque chose et lui déplacé en tirant la feuille.

      “Avez-vous entendu aussi?” Il a demandé à James en allumant la lampe, mais il a vu qu’elle avait mis les bouchons d’oreilles et dormait à poings fermés. Il a entendu un autre bruit inhabituel, et à ce moment-là, il était tout à fait certain que quelqu’un fouillait dans sa cabane, puis sortit du lit, tiré du tiroir de la commode la lampe de poche et semi-automatique et a couru dans les escaliers. En arrivant dans la chambre niché au pied d’une paire de bottes de combat, mettez un pull sur son pyjama et se positionna derrière la porte de la cuisine, dans la meilleure position pour voir le jardin sans être vu.

      Il a remarqué une faible lueur à l’intérieur du garage et a décidé qu’il allait sortir la porte arrière pour se déplacer dans la maison en passant au-dessus de la haie qui bordait la propriété, comme cela revenir à la cabine sans être vu. Il serait stationné et aurait surpris la sortie d’intrus, que quiconque l’avait traité ne jamais vouloir aller fouiller dans les choses des autres. Il a marché ces trente mètres derrière la haie en retenant son souffle, se rappelant les bizarreries qui se sont produits au cours des derniers jours, et a répété à plusieurs reprises qu’il fallait être très prudent. Arrivé à la cabane, il est aplati contre une paroi latérale et assis des patients en attente. Peu de temps après la porte s’ouvrit lentement et sortit une ombre, James a sauté sur la rattrapant derrière et clouée au sol, les bras croisés derrière le dos comme quand a procédé à un arrêt, et avant que l’autre pourrait à tâtons un seul le mouvement à cheval sur le dos.

      “Ne vous avisez pas”, elle a grogné l’oreille, puis leva le bras pour le frapper à l’épaule avec la crosse du pistolet afin de lui faire savoir tout de suite qui était le patron. À ce moment-là l’ingérant, peur et mis dans une position inférieure, il dira ce qu’il faisait là-dedans sans résistance et sans inventer beaucoup d’histoires. Dès qu’il a commencé à baisser le bras, mais arrêté en raison d’une ampoule avait soudainement tourné sur sa tête quand il a approché l’oreille de l’intrus avait eu le bon sens de le savoir. L’odeur d’un parfum familier, bien que presque complètement couvert par l’odeur de sa sueur, avait éveillé en lui un sentiment. De plus, avec le recul, il se rendit compte que quand il ceinturé par derrière avait formé quelque chose de doux, quelque chose de très semblable à un sein.

      “James, arrêt pour l’amour de Dieu!” Clamaient Helen terrifié.

      “Helen? Que fais-tu ici?” Il a dit, déconcerté en abaissant l’aile armée.

      “Voulez-vous me laisser? Tu me fais mal!”

      James relâcha son emprise et déplacé sur le côté, ses poignets endoloris et eut l’air mal se leva frotter.

      “Comment pouvais-je savoir que c’était toi?” Il se justifie. “Heureusement, je vous ai reconnu au dernier moment, sinon je ne sais pas que je le ferais pour vous… ces derniers temps trop de choses étranges se produisent”.

      “Venez me dire?”

      “Pourquoi, pour vous ce qu’il est arrivé?”

      “Je voudrais tout d’abord vous dire ce qui ne se produit pas”.

      “Pendant ce temps commence en expliquant pourquoi vous êtes venu à fouiller dans mon garage à ce moment de la nuit”, il a demandé à nouveau.

      “Harry ne vous a pas encore dit rien sur sa petite évasion?”

      “Ne pas appeler ainsi, ne savent toujours pas ce qui est arrivé, mais maintenant je suis plus que certain que ce n’était pas une évasion. De toute façon, pourquoi demandez-vous? Ce qui est si important pour mon fils de pousser dans la nuit?”

      “Rien… peut-être que je suis juste être paranoïaque et maintenant il est très tard… il vaut mieux si on en parle demain matin au bureau, à ce moment je devrais être sur appel au poste de police et vous coucher avec votre femme”, dit-elle d’aller faire.

      “Attendez une minute! Eve a des bouchons d’oreille et dormir pendant au moins quatre heures, et que la paranoïa est la même chose que je me répète ce matin le matin”.

      “Je dois revenir à la station”, Helen a insisté, en secouant la tête sans trop de conviction, était encore indécis ou non de lui dire les deux corps et la connexion avec Harry probable de vélo. Mais il savait que s’il avait pas à cette époque aurait encore le faire en quelques heures, dans le bureau.

      “Ne vous inquiétez pas, ce qui devrait arriver au poste de police? Là, rien ne se passe jamais”.

      “Vous dites? Et puis vous entendez ce qui est arrivé aujourd’hui”, dit-elle, puis lui a dit tout et quand il eut fini, il se rendit compte que James regardait comment vous pouvez regarder un martien. “Voulez-vous dire qu’il y avait deux cadavres à l’intérieur d’une voiture dans les bois ici, juste derrière ma maison, et que toutes les personnes autour dans la brousse à la recherche d’Harry ne les a vu? Et aussi, si je comprends bien, vous pensez bien, il est possible que ces corps avaient quelque chose à voir avec la disparition temporaire de mon fils?”

      Helen acquiesça convaincu.

      “Je pense que maintenant, vous aviez raison quand vous avez dit que vous êtes paranoïaque”, dit-elle James remarquer des signes de fatigue sur son visage.

      “Alors venez voir”, il lui a proposé, elle a ouvert le hangar et a à la bicyclette.

      “Il est incroyable… Je dois aller tout dire à Eve, peut-être au moins cette fois-ci me confirmer”, elle a dit James voyant la lueur sur le guidon.

      “Non,


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