Les zones critiques d'une anthropologie du contemporain. Группа авторов
Читать онлайн книгу.target="_blank" rel="nofollow" href="#ulink_93117bc2-8ee0-5d2b-9289-23106ab13fef">27 Sur les conditions de création des éditions Sycomore avec des capitaux libanais et le rôle joué par Jean, on lira : https://www.anthropologie-societes.ant.ulaval.ca/jean-copans-livre-4-les-debuts-dune-carriere-dafricaniste-et-sejours-nord-americains.
28 Voir aussi Sud Quotidien, 27 juin 2010 ; Amady Aly Dieng, Notes de lecture d’un dissident africain, Le nègre international, 7 septembre 2010 ; Diagne, 2015. Lire les livres publiés par le CODESRIA : Dieng, 2011a, 2011b, 2011c, voir aussi Fall, sd ; Ngaïdé, 2012.
29 Pour plus de détails sur cette critique, lire la note 36 de Jean Copans où il prend ma défense face à un tel silence : Jean Copans, 2019, « Penser l’Afrique ou connaître les sociétés de l’Afrique ? (Première partie) », Cahiers d’études africaines, LIX (1), 233, p. 215-269.
30 Mercier a été, entre autres, l’un des premiers auteurs de cette époque à avoir tenté une étude des groupements européens en Afrique. Voir l’analyse novatrice qu’il présente, dès 1955, sur celui de Dakar : Cahiers internationaux de sociologie, nouvelle série, Vol. 19 (juillet-décembre 1955), p. 130-146.
31 Voir la présentation qu’il en effectue dans : Jean Copans, « Un Médard sous l’équateur », Revue internationale de politique comparée, 2007/3 (Vol. 14), p. 467-472.
32 Pour plus de détails, lire mon éditorial dans le Vol. 1, n° 2, 1997, p. ii-iii. Je me suis ensuite retiré du Comité de cette revue.
33 Voir Momar-Coumba Diop, Le programme de recherche Sénégal 2000, Dakar, Éditions du Crepos, 2006, 74 p. Lire aussi : « Introduction » : dans Momar-Coumba Diop (éd.), Le Sénégal contemporain, Paris, Karthala, 2002, p. 11-34. Voir M.-C. Diop « Avant-propos. Le dernier épisode d’une longue chronique du Sénégal contemporain », dans Momar Coumba Diop (dir.), Sénégal (2000-2012). Les institutions et politiques publiques à l’épreuve d’une gouvernance libérale, Dakar et Paris, CRES et Karthala, 2013, p. 21-32.
34 « Principes anthropologiques et sociologiques de la réflexivité » et « Les études africaines (depuis les années 1930) ». Je ne lui avais pas réclamé les textes de ses interventions. Le connaissant, j’imagine qu’ils ont été classés et conservés.
35 Les politiques sociales en Afrique de l’Ouest. Quels changements depuis le sommet de Copenhague ? Genève, UNRISD [Politique sociale et développement], avril 2001, 65 pages. Institut de recherche des Nations unies pour le développement social (UNRISD) ; « Les politiques sociales en Afrique de l’Ouest : quels changements depuis le Sommet social ? » Hôtel Novotel, Dakar (Sénégal) 2-3 novembre 1999, 44 p.
36 L’Afrique des associations : entre culture et développement, Paris et Dakar, Karthala et CREPOS, 2007, 296 p. [avec Jean Benoist].
37 Le Sénégal des migrations. Mobilité, identités et société, Paris et Dakar, Karthala, ONU-Habitat et CREPOS, 2008, 434 p.
38 Le Soleil, 25 juillet 2013.
39 Voir la description que j’en fais dans Sénégal. Trajectoires d’un État. Dakar, Codesria.
40 Lire la version définitive : PNUD, Rapport national sur le développement humain au Sénégal. Gouvernance et développement humain, PNUD, Dakar, 2001.
41 Pour plus de détails, lire les papiers publiés dans nos deux volumes : Le Sénégal contemporain, Paris, Karthala, 2002, 656 p. ; La société sénégalaise entre le local et le global, Paris, Karthala, 2002, 736 p.
42 Sur ces deux épisodes, voir la présentation qu’il en fait dans : « L’anthropologie engagée ? Un réflexe militant et activiste, une conception théorique “politisée”, un rapport de collaboration publique avec les interlocuteurs-acteurs du terrain ou alors une conception morale de la discipline ». Lire aussi sa contribution au colloque de Dakar en fin octobre 2019 sur les socialismes au titre étonnement long pour quelqu’un qui a son expérience éditoriale : « 1960-1995 : Militant, compagnon de route, témoin, chercheur, journaliste, directeur de mémoires et de doctorats, éditeur, analyste. L’impossible équilibre entre amitiés révolutionnaires, collaborations éditoriales et scientifiques, défense “inconditionnelle”, distanciation critique et méfiances révolutionnaires anticoloniales ! » Voir : Comité Information Sahel, Qui se nourrit de la famine en Afrique ? Le dossier politique de la faim au Sahel, Paris, F. Maspero, 1974.
43 Il a signé sous différents pseudonymes (Jean Floret, Floret Dia, Harry Dickson) des papiers publiés dans les mensuels et hebdomadaires trotskystes de l’Alliance marxiste révolutionnaire (AMR) une scission de la IVe Internationale en 1963-64, Sous le Drapeau du socialisme et l’Internationale. Dans le Monde diplomatique et Afrique Asie il signait de son nom. Pour une mise en perspective théorique de cette forme d’engagement, voir la présentation qu’il en fait dans sa contribution au colloque de Dakar en fin octobre 2019. Lire aussi le résumé qu’il en présente à l’occasion du cinquantième anniversaire des Cahiers d’études africaines : Jean Copans, « Passer en revue ou être de la revue ? », Cahiers d’études africaines, 198-199-200, 2010.
44 On lira son papier hétérodoxe et très stimulant : Jean Copans, « Passer en revue ou être de la revue ? », Cahiers d’études africaines, 198-199-200 | 2010, p. 557-580.
45 Lire notamment la page de Wikipédia rédigée par Jean Copans avec Marie-Françoise Govin et Robert Peyrillou : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sim_Copans. Voir aussi le film de Richard Copans : Un amour, Les Films d’ici, 90 min qui retrace l’histoire de ses parents. « “Play it again, Sim“ : Sim Copans, ambassadeur de la musique américaine en France », Revue française d’études américaines, vol. hors-série, n° 5, 2001, p. 6-15.
46 Voir le commentaire qu’en fait J.-L. Amselle dans : Gérard Mauger et Louis Pinto, « Grand entretien avec Jean-Loup Amselle Ethnicisation, postcolonialisme, Primitivisme », Savoir/Agir2016/1 (n° 35), p. 91-102. En ligne https://www.savoir-agir.org/IMG/pdf/35-dossier-GE.pdf.
47 Ses relations avec le Mozambique ont été bien exposées dans sa communication au Colloque sur « les gauches révolutionnaires en Afrique subsaharienne » en fin octobre 2019 à Dakar : « J’ai eu Mario de Andrade (l’un des fondateurs