Histoire littéraire d'Italie (3. Pierre Loius Ginguené
Читать онлайн книгу.Senil., l. I, ép. 4, tout à la fin.
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Il se nommait Giovacchino Ciani.
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Petrarc. Senil, l. I, ép. 4. C'est à la fin de cette longue lettre, qu'il répète à Boccace l'offre dont il est parlé plus haut, de venir demeurer avec lui. Toute cette histoire est racontée comme miraculeuse, dans la grande collection des Bollandistes, à la date du 29 mai, t. VII, page 228.
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Il lui fallut pour cela des dispenses du pape, parce qu'il était fils naturel. Manni nous apprend (Istoria del Decamerone di Giov. Boccac., Florence, 1742, in-4., p. 14), que Joseph Marie Suarès, camérier secret du pape Urbain VIII, et évêque de Vaison, faisant des recherches dans les archives d'Avignon, vers le milieu du seizième siècle, y trouva ces lettres de dispense, qui ne laissent aucun doute sur l'illégitimité de la naissance de Boccace. M. Baldelli a voulu se procurer une copie de ces lettres; il a écrit, à ce sujet, à M. Guérin, secrétaire de l'athénée de Vaucluse, qui en a fait inutilement la recherche. Si ce titre existait encore au moment de la révolution, M. Guérin croit qu'il aura été détruit ou vendu, et perdu comme tant d'autre. Voyez Vita del Boccac., p. 164, note.
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C'étaient les parasites, les flatteu
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Tiraboschi,
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1333.
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On trouve ces
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1341.
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Voyez
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1342.
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Gaultier de Brienne.
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1344.
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1350.
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1352.
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1353.
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Giann. Manetti, cité par M. Baldelli,
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En 1359.
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J'ai déjà dit dans la Vie de Pétrarque, que ce manuscrit, précieux sous tous les rapports, est à la Bibliothèque impériale, n°. 3199.
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Il y resta près de trois ans. En 1363, il partit pour Venise, d'où il passa à Constantinople. À peine y fut-il arrivé, qu'il regretta l'Italie; il y voulut revenir; mais, accueilli par une tempête, dans la mer Adriatique, il fut tué par la foudre. Une riche provision de manuscrits grecs, qu'il apportait à Pétrarque, périt avec lui.
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Il paraît que Léonce n'acheva pas la traduction de l'
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Giannozzo Manetti.
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M. Baldelli,
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Petrarch.,
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Il se nommait
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Il lui fallut pour cela des dispenses du pape, parce qu'il était fils naturel. Manni nous apprend (
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C'étaient les parasites, les flatteurs, et avec eux les muletiers, les petits garçons, les cuisiniers et les marmitons.
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1363.
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M. Baldelli,
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M. Baldelli, p. 173. Quelques siècles après, la famille des Médicis fit apposer sur la tour qui fait partie de cette maison, ses propres armes, et y fit sculpter cette inscription:
Has olim exiguas coluit Boccatius œdes
Nomine qui terras occupat, astra, polum.
Cette maison a passé depuis dans la famille Ridolfi. Manni en donne le dessin,
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Il s'agissait de l'exécution d'un legs relatif à une fondation ecclésiastique,