Transitions. Guido Pagliarino

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Transitions - Guido Pagliarino


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dans un cosmos posté à l’autre extrême, et donc pour destination la mort éternel sans résurrection en Dieu, en autres paroles la damnation infernale31 ”.

      â€œOui, Anna”, avait regagné la parole Valerio, “mais à part le discours sur le paradis et sur l’enfer qui intéresse seulement nous croyants, l’idée des pluri-univers est quand même terrible: dans le cas des multi-univers réels, le moi est, en paraphrasant Pirandello, même si ici objectivement et non dans les jugements subjectifs du prochain, un et cent mille, ou des milliards nous pourrons dire, et est, au fond, personne32 car si tout le possible existe, si la personne est milliards et milliards d’individus dans d’autres univers et non une seule, elle n’est pas un moi, et donc sonne absurde et même anti humanistique: L’homme vous apparait comme égal à zéro. Pour moi cela est inacceptable : je crois fermement, comme Einstein, que Dieu ne joue pas aux dés et je crois fermement dans l’unique univers.”.

      â€œMoi aussi, certainement”, s’est unie Anna.

      Le commandant : “Donc, maintenant il s’agit d’agir dans le passé pour changer cela, espéré, un unique cosmo et le reporté à la condition antérieure à la transition du temps”.

      Les mémoires des calculateurs de bord de la navette s’étaient interrogés.

      Les élaborateurs ont répondus qu’au moment du saut chrono-spatiale vers le système Alfa Centaure jusqu’à ici, comme nous le savons, ils ont enregistrés des données de chaque sorte en les prenant à partir des calculateurs publiques de la Terre, dans lequel, comme nous savons, l’unique chrono-astronef qui résultait de n’être pas encore retourné du passé était le numéro 9 qu’avait porté l’Italie dans l’année 1933 une expédition directe du philosophe et historien professeur Arturo Monti de l’Université La Sapienza de Rome. En étant interrompue les communications de la 22 avec la Terre après le saut temporel, on ne pouvait plus avoir d’informations.

      On s’est ensuite intéressé à connaitre l’histoire de l’Alter Terra à partir de 1933 jusqu’au présent, que la transition temporelle a été imaginé être arrivée dans cette lointaine année du XX ère siècle en étant donné que la navette 9 s’était dirigée dans le mois de juin 1933. Il s’était réservés ensuite de s’informer, tout de suite après, aussi sur les événements historiques d’après, et aussi sur les événements historiques de l’Alter Terra antérieurs à cette période ; si en effet l’histoire précédente été identique à celle de la Terre que Valerio et les autres connaissaient bien, serait apparu plausible s’il existait un seul monde et que, simplement, l’histoire fut changée par la transition du temps ensuite, en devenant l’Alter Soria. En réalité on ne pouvait pas avoir la certitude, en effet la possibilité de deux univers très proche n’était pas exclu auquel l’histoire, jusqu’à un certain point, fut identique pour ensuite se différencier en histoire et ne voulait pas que cela soit vrai et tel désir donnait la priorité sur une autre hypothèse : même dans le profond de Jan Kubrich.

      Valerio Faro sur notre Terre était accrédité à l’Archive historique central et en avait l’accès direct ; il espérait donc que ce fut ainsi aussi sur l’Alter Terra, et il avait même promit avec soit même, même s’il n’avait pas pu éviter de se demander, pendant tentait à en avoir l’accès: ...et si en ce monde nazisme je ne fus même pas né ? Ou si ici je ne fus pas un historien mais … un marin, ou un avocat, ou… qui sait qui ? En plus il sentait, et étant un homme libre et démocratique convaincu en avait le dégout, que dans le cas espéré d’être admis aux données réservés de l’archive électronique, il aura été, sur l’Alter Terra, un serviteur du nazisme, autrement il n’aurait pas pu avoir accès ; il s’était toutefois demandé : Moi ou mon alter ego ? Sur cette pensée, il avait exprimé avec un battement de cœur son mot de passé : il a eu l’accès sans problèmes. Il avait déglutit instinctivement pour le soulage quelconque des deux cas qui fut vrai, encore : ‘Nazisme moi ou un Alter Valerio ?’.

      Il avait parlé sans intermédiaires, comme l’était son droit, avec le grand cerveau central. Comme il s’attendait, les programmes de l’archive étaient aussi en langue allemande et non en anglais universel qui, quand ils étaient partis, il était parlé et écrit partout des enseignes commerciales jusqu’aux étiquettes de fabrique cousues à l’intérieur de la lingerie intime ; maintenant, seulement la chrono-astronef 22 et ses disques volants avaient les écritures de service en anglais, pertinences du monde de départ comme l’était Valerio et les autres embarqués sur le vaisseau.

      La première demande du professeur avait regard la géographie politique de l’Alter Terra. La réponse a été celle que tout le globe était nazisme, non seulement l’Europe, et était organisé dans l’Empire Mondial de la Grande Allemagne qui comprenait les protectorat guidés par un gouverneur allemand, tout comme les États-Unis d’Amérique, la Russie, la Suisse et la majorité des états afro-asiatiques en commençant par ceux ex-islamiques, comme celui de l’Italie dirigé par un roi de nom de Paolo Adolf II: les monarchies locales devaient ajouter Adolf au propre nom. Quant à l’Empire mondiale, le statut nazisme prévoyait que pour monter au seuil impérial, à la mort ou au retournement violent du précédent empereur– cela s’est passé une seule fois en 2069–, le successeur devait être élu par les SS, un peu comme il a été pour les Césars dans une certaine période de la Rome impériale; en plus on stabilisait que le nouveau élu devait absolument laisser ses propres noms et prénoms et devenant ainsi Adolf Hitler. Un Adolf Hitler V était maintenant sur le trone, rien de moins que le Kaiser de l’ Univers; l'Empire par contre, de fait, comprenait seulement peu de mondes autre à la Terre, la Lune, ou il y avait une base scientifique, les planètes du système solaire, dont seulement Mars, depuis qu’ils ont changés artificiellement le climat, était habitée par peu de colonies, et enfin quelques mondes des autres étoiles sur lesquels, pour le moment, se trouvait seulement des missions d’études, et dont résultait l’expédition de la navette 22 vu que le chrono-aéronef était à peine rentré en orbite terrestre. Les allemands étaient arrivés à un grand pouvoir grace, initialement, à un cambriolage technologique des parties du disque précipité et récupéré par les italiens à la SIAI Marchetti de Vergiate: naturellement l’Archive en parlait, d'une brillante opération militaire faite par les glorieux idéalistes germaniques. Il résultait en plus que à révéler aux allemands l’existence et la localisation du disque a été une certaine Claretta que Mussolini, non protecteur comme toujours de la morale familiale, tenait comme son amante fixe, femme de trente années plus jeune de lui. Depuis février 1933 elle avait accepté un engagement dans les services secrets nazismes, pour deux mille lires par mois qui, en ces temps, étaient une somme importante. La taupe ne s’était pas rendu compte des problèmes qui auraient pu venir à l’Italie de ses rapports aux allemands des informations recueillies entre les draps du Grand Chef. L’archive disait que les italiens ingénieux avaient cru, pour beaucoup d’années, que ce fut les anglais, retenus les constructeurs du disque, à avoir fait le cambriolage et que, d'ailleurs, et de l’efficiente secrète Allemagne, non seulement quant à l’opération Patriote, comme était définie conventionnellement, mais aussi sur les successives activités d’études, auquel la direction a été confiée personellement par Hitler aux ingénieurs Hermann Oberth et Andreas Epp: les travaux avaient demandés


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