Recherches nouvelles sur l'histoire ancienne, tome I. Constantin-François Volney

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Asiatick researches, tome IV.

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Mégasthènes fait une remarque expresse de cette ressemblance entre les Indiens et les Juifs pour les opinions théologiques (Eusèbe nous dit, Præpar. Evang., lib. IX, cap. 6), Megasthenis..... clarissimus hic locus est libro suo de Indicis tertio: «Quidquid ab antiquis de naturâ dictum est, eorum etiam qui extra Græciam philosophantur, ut brachmanum apud Indos, et Judæorum in Syriâ sermone celebratur». Un passage de Josèphe, dans son livre Ier contre Appion, est encore remarquable, § XXII: «Cléarque, disciple d'Aristote, en son livre du Sommeil, parlant d'Hyperochides, philosophe juif, observe que les Juifs tirent leur origine des Indiens. Chez les Indiens, dit-il, les philosophes se nomment Kalani, et chez les Syriens, Judæi, à raison du nom de la contrée qu'ils habitent».

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Le livre des Nombres, chap. 22, dit que Balaam vint du pays des Ammonites. Le livre du Deutéronome dit, chap. 23, v. 4, qu'il vint de la Mésopotamie (Aramnahrim).

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Numeri, chap. 24, v. 5 à 7 et 17 à 20.

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Voilà encore une phrase de Jérémie.

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Dans la Polyglotte de Walton, pas une des sept traductions grecque, syriaque, arabe, vulgate, chaldaïque, etc., ne ressemble à l'autre; ce qui démontre l'incertitude des auteurs: nous avons suivi le sens le plus littéral et le plus plausible.

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Sam., lib. I, cap. 15, v. 6.

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Environ 180 ans avant J.-C.

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Le texte hébreu porte Dodanim, par confusion de l'R avec le D, qui en hébreu lui ressemble; mais le samaritain, qui n'est pas susceptible de cette confusion, porte Rodanim, et c'est la vraie leçon.

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Voyez Isaïe, chap. 23.

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En hébreu, tout pays au-delà de la mer s'appelle Ile: Ai. La même chose a lieu en sanscrit.

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Hérodote, liv. II, § CLIX.

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Supposez qu'en 638, 1re année de Josiah, Helqiah eût 40 ans, il en aura eu 74 en 604.

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Sous le règne d'Artaxercès, vers l'an 452 avant J.-C.

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Le livre célèbre intitulé, Tractatus theologico-politicus, publié en 1670, est le premier qui ait traité tout ce qui concerne les livres hébreux avec la liberté d'esprit convenable pour y porter la lumière..... Le lecteur y trouvera beaucoup de détails intéressants sur le sujet que nous traitons; mais son auteur, qui a cru qu'Ezdras composa le Pentateuque, nous paraît s'être trompé dans plusieurs de ses raisonnements; son grand mérite est d'avoir ouvert une route où presque personne n'avait osé mettre le pied avant lui.

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Exod., chap. 9, v. 23, 31, 32.

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Chap. 3, v. 1, 15.

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Chap. 4, v. 19.

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De Bello judaico.

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Censorinus, de Die natali par Lindenbroq. Cantabrigiæ, 1695, in-12, chap. 19. Et in Ægypto antiquissimum ferunt annum bimestrem fuisse; deinde a Pisone rege quadrimestrem factum. Dîodore, liv. I, pag. 22, dit, d'un mois, d'accord avec Plutarque, Pline, Augustin, Varro et Proclus. Item in Achaiâ, Arcades trimestrem habuisse; Cares autem et Acarnanes semestres habuerunt annos, et inter se dissimiles quibus alternis dies augescerent aut senescerent, eosque conjunctos veluti trieterida annum magnum.

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Hist. nat., lib. VII, cap. 49.

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Voyez Plutarque, de Numa; Diodore, lib. I, Varron; Proclus, Comment. in Timeum.

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Cela serait d'autant plus naturel, que n'étant point laboureurs, mais pâtres errants, ils n'avaient pas besoin du calendrier écliptique.

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Lorsque ce roi, fuyant Absalon, passe le Jourdain, il est accueilli par un vieillard de 85 ans, que l'historien peint décrépit, tel qu'il serait de nos jours.

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Genèse, chap. 15.

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Josèphe, Antiq. jud., liv. II, ch. 6 et 15.

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Voyez Mémoires de l'Acad. des Inscrip., tome XXXIV, un Mémoire de Gibert sur les années des Juifs.

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Contre Appion, liv. I, § XIX.

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Ce mot noux est la meilleure orthographe de l'hébreu nouh (Noé), parce que les Grecs n'ayant point l'aspiration h, la remplacent par χ, qui est le ch allemand et latin.

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Voyez le Syncelle, pages 38 et 40, ligne 8. Cet auteur cite quelquefois le nom de Bérose; mais tous les passages qu'il produit, finissant par être rapportés à Polyhistor, Abydène et autres copistes de Bérose, il nous semble que déja l'original de Bérose n'existait plus.

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Prœpar. Evang., lib. IX, cap. 12.

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Nec me fugit Berosum et sequaces ejus Alexandrum Polyhistorem, et Abydenum, etc., page 14.

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Le Syncelle, page 30, semble d'abord tirer ce passage de Bérose; mais en le terminant, il dit: Voilà ce qu'écrit Alexandre Polyhistor.

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En Égypte ces oiseaux ne quittent pas la maison pendant que le sol est couvert d'eau: quand ils s'absentent, c'est le signe qu'ils trouvent à vivre et que la terre se découvre.

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Arcturus, Bootes.


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