Programme des Épouses Interstellaires Coffret. Grace Goodwin
Читать онлайн книгу.apprentissage, le moment est venu.
Ander s’agenouille derrière nous, son regard s’attarde sur les magnifiques courbes féminines de notre partenaire. Il inspire profondément, savoure, tout comme moi, la douce odeur de sa chatte humide.
Très concentré, Ander s’agenouille entre ses jambes tandis qu’elle s’assoie à califourchon sur mes cuisses. Je sais ce qu’il veut, je vais l’aider à l’obtenir.
Je ferme les yeux, savourant l’abandon de notre partenaire, tandis qu’elle passe ses bras autour de mon cou.
8
Ander
Notre partenaire est magnifique. Ses cheveux blonds retombent tels une cascade soyeuse de soleil doré sur le bras de Nial. Elle est mince et musclée, sa peau claire resplendit à côté du vêtement noir de Nial, telle une lune parfaite dans un ciel obscur. Ses lèvres s’abandonnent sous le baiser passionné de Nial, j’ai une énorme érection. On dirait une flamme blanche entre ses bras, sa poitrine est couverte par un petit soutien-gorge rose que je rêve d’arracher. Elle a mis ses mains autour de son cou, en plein sur sa peau de cyborg, elle serre le poing de désir, le son agréable du plaisir féminin emplit la pièce.
J’ai une érection du feu de dieu alors que mon regard parcourt ses jambes longues et fuselées jusqu’à son vagin. Je sens son excitation, sa douceur m’appelle tel le chant des sirènes. Je n’ai aucune raison d’y résister.
Il est l’heure pour moi de goûter sa chatte, d’enfoncer profondément ma langue à l’intérieur, mais je sais que si j’agis trop vite, la magie de ce moment sera perdue. Pour le moment, elle fait preuve de tendresse et accepte les baisers et les caresses de Nial. Je vais exploser si je ne la touche pas mais je ne veux pas l’effrayer. Ma taille et mon apparence sont déjà assez inhabituelles, sans parler de mes besoins sexuels impérieux qui me poussent à être trop rapide ou trop vigoureux.
Je suis un homme patient. Je peux traquer ma proie pendant plusieurs jours sans manger ni dormir. Je peux bien attendre quelques minutes de plus pour goûter cette femme magnifique qui sera la mienne pour toujours. Ma partenaire.
Elle chevauche les cuisses de Nial, telle une offrande votive, si douce et tendre. Elle n’est pas petite comme la partenaire du Commandant Deston, c’est un réel soulagement. Elle est assez grande pour qu’on la prenne à deux, elle est assez grande pour moi.
Je me suis porté volontaire par deux fois en tant que second partenaire mais les autres guerriers on craint qu’avec ma stature et mes cicatrices, leurs nouvelles partenaires me rejettent au premier coup d’œil.
Me retrouver agenouillé devant ma partenaire est un rêve, c’est trop beau pour être vrai. Elle a voulu de lui avec sa peau de cyborg, elle l’a embrassé avec passion, j’ose espérer qu’elle voudra de moi.
Tout comme moi, Nial est en piteux état, il est défiguré par sa peau argentée et son œil de cyborg et pourtant, elle l’accepte, elle le laisse la toucher. Elle éprouve du désir pour un guerrier arborant des cicatrices de guerre.
Ce n’est pas un rêve, elle est faite de chair et de sang. Je sens l’odeur de miel de son sexe, la douceur de sa peau, j’ai envie d’enfouir ma langue dans sa chaleur moite, la faire hurler de plaisir. Si j’arrive à lui procurer du plaisir avant qu’elle ne voie mon visage, elle passera peut-être outre mes blessures et ne sera pas horrifiée par mon aspect. J’ai bien fait d’utiliser la cabine de nettoyage à bord du vaisseau des cyborgs avant d’envoyer leur vaisseau percuter l’étoile de la Terre. J’ai promis à ma partenaire que j’aurais la tête de ses ennemis, mais je remercie mon instinct de me présenter à elle sans trop de sang sur les mains.
Elle est trop belle est trop précieuse pour être touchée par tant de violence.
J’observe Nial parcourir son corps avec plaisir, ses mains effleurent ses seins, sa taille, ses hanches. Ses mains parcourent ses cuisses, repoussent la couverture de plus en plus bas. Je remarque une longue cicatrice sur sa cuisse, je me demande comment elle se l’est faite, mais l’idée me sort de l’esprit lorsque Nial touche doucement le petit morceau de tissu rose qui recouvre son sexe. Il s’y attarde, il appuie contre le tissu, il frotte son clitoris, s’enfonce dans sa chatte autant que le tissu le lui permet, il branle son clito.
Elle gémit contre sa bouche, ses hanches se pressent plus fermement contre lui sous la caresse, elle plaque ses lèvres contre les siennes, elle explore sa bouche.
Il lui appartient.
Le désir et l’envie me submergent alors que mon membre atteint des proportions douloureuses. J’ai envie de sentir sa langue dans ma bouche. J’ai envie qu’elle gémisse, se tortille et hurle de plaisir. J’ai envie qu’elle sache que c’est moi qui la touche. Que c’est moi qui goûte sa chatte. Je veux qu’elle se consume de désir.
Sa réaction aux caresses de Nial est le signal que nous attendions. Il arrache le petit bout de tissu et elle pousse un cri, sous le choc, la bouche emportée par le baiser de Nial.
Nial prend son visage entre ses mains, il l’empêche de regarder son corps, de me voir, afin que nous soyons prêts. Ils se défient du regard tandis que Nial lui chuchote sa demande. Je regarde ses seins roses se soulever au rythme de sa respiration, ses tétons dressés pointent à travers le tissu fin. « Laisse-nous te toucher. »
Mon regard descend et je tombe sur sa chatte trempée, rose et bien en vue, à quelques centimètres de ma bouche avide. Je prie pour qu’elle dise oui. J’ai trop hâte de la goûter, de sucer son clito, de la doigter et la branler avec ma langue. La faire jouir sur moi.
« Nial ? Je ne peux pas. » Elle lèche ses lèvres gonflées. « Ce n’est pas bien. Je … Je ne vous connais pas et… et je… » Elle ferme brièvement les yeux. « C’est … c’est trop. »
Ses paroles me font l’effet d’un coup de poignard mais Nial ne bronche pas.
« Chhut. Il en sera toujours ainsi entre nous. Tu n’as pas à redouter le pouvoir du lien entre un guerrier et son épouse. Ne redoute pas le plaisir que nous allons t’apporter. Laisse-toi aller, Jessica, tu es en sécurité avec moi. Je te promets d’être là. Ander également. N’aie pas peur de t’en remettre à nous. Laisse-toi aller et laisse-nous te donner du plaisir. Laisse-nous te toucher. » Il l’embrasse doucement sur la bouche, avec une tendresse que je n’ai pas, je suis reconnaissant au royaume des Dieux d’accorder deux hommes à nos femmes pour les protéger et leur procurer du plaisir. J’ai envie de la baiser comme un fou. Je pourrais tuer pour elle. Je ne suis pas Nial. Je ne peux pas être tendre et doux. Si je la touche, je vais la dévorer toute crue. J’ai besoin de la posséder, de la conquérir, de gagner son plaisir.
Elle doit me supplier.
La main de Nial glisse sur son cou, ses seins, descend plus bas. La respiration de Jessica se fait haletante tandis que sa main descend vers son bas-ventre. Il s’arrête à quelques centimètres de son sexe, ils se dévisagent. Il l’excite du regard.
« Dis oui, Jessica. » Il l’embrasse une fois. Deux fois. « Laisse-toi aller, dis oui. »
Elle plante ses doigts dans les épaules de Nial, en signe envie ou d’acceptation, je ne sais pas. Elle est aux prises avec elle-même, pas avec Nial, la décision lui appartient. « Oui. »
Il la récompense en glissant sa main entre ses cuisses ouvertes, il introduit deux doigts profondément en elle tout en l’embrassant à loisir.
Elle s’agite sous sa main, son gémissement est une douce musique à mes oreilles, il retire ses doigts, imprégnés de ses fluides. Il écarte sa main de son corps, me laissant libre accès.
Lentement, avec un profond respect, je touche notre partenaire pour la première fois, mes doigts remplacent ceux de