Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne. Hugo Grotius

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Traité de la Vérité de la Religion Chrétienne - Hugo Grotius


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Contre le Culte des Astres & des Élémens.

      VII. Contre le Culte que les Payens rendoient aux Animaux.

      VIII. Contre le Culte qu'ils rendoient aux Passions, à la Vertu &c.

      IX. Réfutation de la preuve que les Payens tiroient de leurs Miracles. Réfutation de la preuve qu'ils tiroient de leurs Oracles.

      X. Que le Paganisme est tombé de lui-même lorsque les secours humains lui ont manqué.

      XI. Que les Astres n'ont aucune influence sur la Religion.

      XII. Que les Principaux Points de la Religion Chrétienne se trouvent dans les Écrits des sages Payens. Et que les Payens croioient des choses aussi difficiles à croire que nos Mystéres.

      LIVRE CINQUIÈME

      I. Réfutation du Judaïsme.

      II. Que les Juifs ne doivent pas douter des Miracles de Jésus-Christ.

      III. Que ces Miracles n'ont pas été faits par le secours des Démons. Ni par la force de quelques paroles.

      V. Preuve de la divinité de ces Miracles, par la Doctrine de Jésus-Christ.

      VI. Réponse à l'Objection tirée de la diférence entre la Loi de Moïse & celle de Jésus-Christ.

      VII. Qu'il peut y avoir une Loi plus parfaite que celle de Moïse.

      VIII. Que Jésus-Christ a observé la Loi.

      IX. Que cette partie des Loix de Moïse, qui a été abolie, ne contenoit rien que d'indifferent par soi-même.

      X. Que les Sacrifices n'étoient ni agréables à Dieu par eux-mêmes, ni irrévocables.

      XI. Preuve de la même verité, à l'égard de la difference des viandes.

      XII. 2. De la difference des jours.

      XIII. 3. A l'égard de la Circoncision.

      XIV. Que les Juifs conviennent qu'un Messie a été promis.

      XV. Que ce Messie est venu. 1. Preuve; le tems marqué pour sa venue est expiré.

      XVI. Réponse à l'Objection, que l'avènement a été différé à cause des péchez du Peuple.

      XVII. 2. Preuve: Comparaison de l'état présent des Juifs avec ce que la Loi leur promettoit.

      XVIII. Que Jesus est le Messie. Preuves tirées des Prédictions.

      XIX. Réponse à l'Objection, que quelques-unes de ces Prédictions n'ont pas été accomplies.

      XX. Réponse à l'Objection prise de la bassesse & de la mort de Jesus-Christ.

      XXI. Examen du préjugé favorable que beaucoup de Juifs ont pour ceux qui ont condamné Jesus Christ.

      XXII. Réponse à l'Objection, que les Chrétiens adorent plusieurs Dieux.

      XXIII. Réponse à l'Objection, que les Chrétiens adorent la nature humaine.

      LIVRE SIXIÈME.

      Réfutation du Mahométisme.

      I. Origine du Mahometisme.

      II. Contre la soumission aveugle, qui est le fondement du Mahometisme.

      III. 1. Preuve contre les Mohometans, tirée de l'Écriture Sainte dont ils avouent en partie la divinité.

      IV. Que l'Écriture n'a pas été corrompue.

      V. 2. Preuve tirée de la comparaison de la Religion Chrétienne & de la Mahometane, & 1. de la comparaison de Jesus-Christ avec Mahomet.

      VI. 2. De la comparaison des actions de l'un & de l'autre.

      VII. 3. De la comparaison de ceux qui ont les premiers embrassé le Christianisme & le Mahometisme.

      VIII. 4. De la comparaison des moyens par lesquels ces deux Religions se sont établies.

      IX. 5. De la comparaison de la Morale Chrétienne avec celle de Mahomet.

      X. Reponse à l'Objection que les Mahometans tirent de la qualité de Fils de Dieu, que nous donnons à Jesus-Christ.

      XI. Que les Livres des Mahometans sont pleins d'absurditez.

      XII. Application de tout l'Ouvrage, adressée aux Chrétiens.

      XIII. Usage du I. Livre, pour la Pratique.

       Usage du II. Livre.

       Usage du III. Livre.

       Usage du IV. Livre.

       Usage du V. Livre.

       Usage du VI. Livre.

      I. DISSERT. Du choix qu'on doit faire entre les divers Sentimens qui partagent les Chrétiens.

      Par Mr. LE CLERC.

      I. Qu'on doit examiner qui sont ceux d'entre tous les Chrétiens, qui suivent aujourd'hui la Doctrine la plus pure de Jesus-Christ.

      II. Qu'il faut s'atacher à ceux qui sont les plus dignes du nom de Chrétiens.

      III. Les plus dignes du nom Chrétien sont ceux qui enseignent la Doctrine la plus pure, dont Grotius a prouvé la verité.

      IV. Des choses dont les Chrétiens sont d'accord, & de celles où ils sont d'un sentiment contraire.

      V. De quelle source chaqu'un doit tirer la connoissance de la Religion Chrétienne.

      VI. Qu'on ne doit prescrire aux Chrétiens que ce qui est tiré du Nouveau Testament.

      VII. Qu'on doit admirer la Providence de Dieu dans le soin qu'il a pris de conserver la Doctrine Chrétienne..

      VIII. On répond à la question, pourquoi Dieu a permis qu'il y eût des erreurs & des disputes entre les Chrétiens.

      IX. Que ceux-là professent & enseignent la plus pure Doctrine de Jesus-Christ, qui ne proposent pour Règle de la Foi, de l'Esperance & des Moeurs que les choses dont tous les Chrétiens sont d'accord.

      X. Que la prudence nous oblige de participer à l'Eucharistie avec ceux qui ne demandent des Chrétiens, que ce que chacun trouve dans les Livres du Nouveau Testament.

      XI. De la Discipline Ecclésiastique.

      XII. Que Grotius a beaucoup estimé l'ancienne Discipline, quoiqu'il n'ait jamais condamné l'autre.

      XIII. Exhortation à tous les Chrétiens, divisés de sentimens, de n'exiger les uns des autres la créance d'aucun Point de Doctrine, que de ceux dont chacun connoît la certitude par la lecture du Nouveau Testament, & qui ont toujours fait l'objet de la Foi.

      II. DISSERT. contre l'Indiférence de Religion.

      Par Mr. LE CLERC.

      II. Qu'il n'y a rien de plus important que la Religion, & que par conséquent on doit emploier tous ses soins pour la connoître.

      III. Que l'indifférence de Religion n'est pas permise d'elle même; qu'elle est défendue par les Loix divines, & condamnée par toutes les Communions Chrétiennes.

      IV. Qu'il ne faut pas legerement taxer d'erreur & d'un culte deffendu ceux qui sont d'un sentiment contraire au nôtre, ni les exclure du Salut éternel qui ne se peut trouver dans leur Communion; quoi qu'il ne soit jamais permis de professer ce que nous ne croions pas, ou de pratiquer ce que


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